J’ai trouvé cette petite ville posée au bord d’un grand fleuve, paisible, charmante et coquette. Pourtant elle a longtemps été appelée la « capitale du bagne » parce qu’elle fut construite pour recevoir les bagnards éloignés de métropole par Napoléon III puis par la République.
J’ai fait de nombreux voyages en Tunisie, tantôt balnéaires et relaxants, tantôt de découvertes et culturels. A chaque occasion qui se présentera je n’hésiterai pas à retourner dans ce pays qui me séduit autant par le courage de ses habitants que par les charmes et la beauté de ses monuments et paysages.
Ses couleurs éclatantes m’ont ébloui. Ce quartier de Bo-Kaap est petit et construit à flanc de la colline de Signal Hill en marge du centre de la ville du Cap en Afrique du Sud. J’y suis arrivé en fin d’une journée ensoleillée quand la lumière déclinante caressait ces façades très étonnantes et que les habitants étaient sur le pas de leur porte. Forcément ce quartier hyper coloré et photogénique est devenu l’étape carte postale incontournable pour les touristes de passage dans la capitale sud-africaine.
Une de nos plus belles découvertes, ma femme et moi, à Penang en Malaisie est l’opéra de rue chinois, que nous avons présenté dans une précédente vidéo.
Synagogue et mosquée côte à côte. Rare en France et même dans beaucoup de pays du monde ! Pourtant la cohabitation en bon voisinage de ces deux lieux de culte est possible. Elle existe dans un petit pays que peu de gens connaissent. Je viens de le découvrir, c’est le Suriname, ex Guyane hollandaise et sa capitale Paramaribo. Sur la photo que j’ai prise on voit clairement, l’une à côté de l’autre, la synagogue Neveh Shalom datant de 1842 (la communauté locale avait établi sa première synagogue dès 1665) et la mosquée construite en 1984 (la première datait de 1932).
L’art dans la vie. Géniale, l’utilisation du « street art » dans la ville de George Town ! C’est la capitale de l’île de Penang au nord-ouest de la Malaisie ! J’ai eu un vrai coup de cœur pour ces fresques qui ont commencé à éclore à l’occasion du festival de la ville de 2012, disséminées sur de vieux murs. Sans cette initiative ces murs seraient restés vides, ternes et oubliés.