L’art dans la ville. J’ai été ébahi de la manière dont le street art s’est inséré dans cette ville historique. George Town, la capitale de l’île de Penang en Malaisie a un très riche passé. Elle était l’un des « Straits Settlements » (Etablissements des détroits) qui formaient sous ce nom une colonie de la couronne britannique au XIXème siècle.
L’art du XXIème siècle. Le « street art » a fait sortir l’art des musées. Je l’ai constaté dans les rues de Paris ou de New York où cet art a vu le jour. Mais c’est encore plus flagrant à George Town en Malaisie qui est vraiment entrée dans ce grand mouvement de l’art du XXIème siècle. J’ai aimé cette ville à cause de cet art qui m’y a fait entrer. Au départ, cette ville, capitale de l’île de Penang en Malaisie, avait sollicité pour animer son festival annuel de 2012 un peintre Lithuanien, Ernest Zacharevic.
Prolifération artistique. A George Town, la capitale de l’île de Penang en Malaisie, j’ai pu constater que l’art est partout dans la rue, il suffit de le chercher. Les premières œuvres peintes sur les murs il y a seulement quelques années en ont fécondé beaucoup d’autres. J’ai passé des heures à explorer les ruelles de cette vieille ville classée au patrimoine mondial de l’Unesco.
Œuvres en fer forgé. La ville de Georges Town à Penang en Malaisie a fait bien davantage que de semer des fresques sur ses vieux murs délabrés. Elle a créé tout un parcours intitulé « Marking George Town », composé de 52 sculptures en acier soudé, appliquées sur des pans de murs inutilisés de la vieille ville et moins éphémères que les fresques peintes. Une sorte d’art intermédiaire entre le street art spontané et un mobilier urbain artistique. C’est une sorte d’itinéraire bis de street art.
Elle est basée à Londres en tant que project manager du groupe International SOS & Control Risks. Du Cameroun de ses origines, en passant par la France, l’Europe, les Amériques ou l’Asie, elle reste, dans ses voyages, en quête d’atmosphères de son enfance.
Pourquoi pas une voie piétonne permanente ? Les Champs- Elysées n’ont rien à voir avec des champs, puisqu’ils sont la plus belle avenue de voitures au monde. Normal pour un pays de constructeurs d’automobiles ! Dieu sait si j’aime cette avenue où j’ai travaillé pendant dix ans. Mais cette 2 X 4 voies est un quasi bouchon permanent.