Poisson rare. Evidemment vous n’y avez jamais goûté puisque vous ne le connaissez même pas ! J’ai cru à une blague quand j’ai entendu son nom la première fois en Guyane. Mais ce n’est pas un poisson d’avril, c’est un poisson qui existe réellement. On l'écrit parfois "jamégouté".
Je ne suis pas pilote d’avion, mais la chance m’est offerte de vivre une expérience de voyage unique : pour un reportage, je suis autorisé à rester pendant tout un vol long-courrier de Corsair dans la cabine de pilotage, depuis Orly jusqu’au toucher de piste à l’aéroport Aimé Césaire de Fort de France. 8 heures pendant lesquelles j’ouvre grand mes yeux et mes oreilles. Je ne comprends pas tout, mais ce qui se passe est palpitant, je ne vois pas le temps passer.
Ses couleurs éclatantes m’ont ébloui. Ce quartier de Bo-Kaap est petit et construit à flanc de la colline de Signal Hill en marge du centre de la ville du Cap en Afrique du Sud. J’y suis arrivé en fin d’une journée ensoleillée quand la lumière déclinante caressait ces façades très étonnantes et que les habitants étaient sur le pas de leur porte. Forcément ce quartier hyper coloré et photogénique est devenu l’étape carte postale incontournable pour les touristes de passage dans la capitale sud-africaine.
Une de nos plus belles découvertes, ma femme et moi, à Penang en Malaisie est l’opéra de rue chinois, que nous avons présenté dans une précédente vidéo.
Trip movie. En 1971, j’ai pu gagner New-York avec un petit sac et un point de chute dans le New Jersey, via Luxembourg et Reykjavik à bord d’un jet de la Lofteidir Icelandic destiné aux G.I. en perm’ et aux étudiants impécunieux. L’Amérique, j’en suis vite revenu. Alors, quand j’ai découvert ce film de 1973 en noir et blanc sous-titré français, parlant anglais, néerlandais puis allemand, j’ai été épaté grave. Depuis, je me repasse très souvent le DVD et je découvre chaque fois quelques nouvelles merveilles.
L’art dans la vie. Géniale, l’utilisation du « street art » dans la ville de George Town ! C’est la capitale de l’île de Penang au nord-ouest de la Malaisie ! J’ai eu un vrai coup de cœur pour ces fresques qui ont commencé à éclore à l’occasion du festival de la ville de 2012, disséminées sur de vieux murs. Sans cette initiative ces murs seraient restés vides, ternes et oubliés.