Mon trip à Paris en bateau-mouche
By the river : on entend davantage parler anglais que français sur la Seine au mois d’août -le meilleur mois pour visiter Paris-.
By the river : on entend davantage parler anglais que français sur la Seine au mois d’août -le meilleur mois pour visiter Paris-.
France et Angleterre réunies. Quelque part près de Saumur en Anjou (l’actuel département de Maine et Loire), j’ai pris cette étonnante photo d’un gisant remarquable, celui de la reine Aliénor d’Aquitaine. On la voit allongée auprès de son deuxième époux, le roi d’Angleterre Henri II Plantagenêt. Une émission de télévision populaire d’hier soir « Secrets d’histoire » (1) m’a rappelé ce trésor que j’avais rencontré lors d’une étape sur une route de vacances.
Les enseignes de Conflans à Albertville en Savoie. Des centaines de milliers de touristes, de curistes et de skieurs passent chaque année au pied de cette cité ancienne sans même la voir. Moi-même j’y suis passée des dizaines de fois pour aller à Val Thorens, Méribel, Courchevel, Brides les Bains ou même pour passer en Italie, côté Val d’Aoste, sans même soupçonner son existence.
Embarquement dans un océan de couleurs. La collection Batliner au musée de l’Albertina de Vienne est vraiment une explosion de couleurs et de lumières. Son unité d’inspiration fait passer en douceur de l’impressionnisme de Monet à la fin du XIXème siècle aux étrangetés de Picasso et même aux torsions de Bacon après la seconde guerre mondiale. Comme par un miroir aux alouettes, j’ai été happée par ces reflets et j’ai eu du mal à quitter le musée au moment de sa fermeture. Aucune des œuvres ne m’a laissée indifférente.
Quand on l’observe du fleuve ou de la rive gauche, le vieux Porto étale d’incroyables richesses architecturales : une cascade de constructions classées au patrimoine mondial de l’Unesco. J’ai zigzagué de haut en bas et de bas en haut pour découvrir quelques-unes de ses beautés qui dominent le fleuve Douro.
Tout en haut de la vieille ville de Porto, on domine les toits de tuiles rouges sous un ciel parcouru de goélands argentés criards. On devine le labyrinthe de ruelles serrées qui dégringolent jusqu’au quai « da Ribeira » où accostent les « rabelos », ces barques traditionnelles à fond plat. Je suis descendu par ces ruelles, forcément piétonnes, en empruntant ces escaliers étroits et tassés, où sèche, à presque toutes les fenêtres du linge, de toutes les couleurs.