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Les ruines d’Angkor au Cambodge 6/7 transports

Asie du sud est Cambodge Angkor Khmer Siem Reap Le vélo est roi dans les ruines d'Angkor

Il n’y a pas de réseau de bus à Angkor, encore moins de métro. Pourtant les ruines de la ville ancienne s’étendent sur 400 km ² soit quatre fois la superficie de Paris intra-muros (correspondant seulement au centre-ville du moyen-âge) À son apogée, Angkor s’étendait sur  plus de 1 000 km ² soit presque l’équivalent de la superficie du Val d’Oise.

Les groupes touristes n’ont pas de problème puisqu’ils sont véhiculés par les autocars qui les déposent là où les guides ont décidé de les emmener. Les touristes individuels qui tiennent à leur liberté ont le choix entre des tuk-tuks, de motos, des carrioles à cheval ou toutes sortes de véhicules. En ce qui me concerne, j’avais un minibus et une semi-liberté.

Quant aux habitants du lieu ils se débrouillent comme ils peuvent. Le moyen de locomotion le plus populaire reste la bicyclette qui a l’avantage de pouvoir s’insérer dans les plus petits sentiers. Mais ils marchent beaucoup à pied. On voit même des chevaux. Sur les axes routiers on voit passer beaucoup de motos ou de charrettes surchargées, des tuk-tuks et des véhicules bricolés parfois étranges comme des « reumok » (déformation du français « remorque »). 

A lire aussi : 

- les pierres et les sculptures avec lesquelles cette ville gigantesque a été construite

- les arbres et la végétation tropicale gargantuesque qui phagocite ces pierrres 

- les animaux fantasmagoriques qui peuplent les sculptures et les animaux bien réels qui y vivent aujourd'hui

- les cambodgiens, dignes et souriants, qui vivent et qui travaillent dans ce qui fut une des plus grandes cités du monde à l'époque de notre moyen-âge

- les prières bouddhistes et la religiosité qui imprègnent toujours les ruines 

- les touristes qui envahissent de plus en plus le site et qui menacent son intégrité. 

Destinations concernées: