Des voyages « à cœur ouvert ». C’est la formule utilisée par l’une des voyageuses de ces expériences télévisuelles anglaises, qui m’ont touchée en tant que femme…parce que très féminines. Leur démarche de sincérité pourrait s’appeler « voyage réalité » : ces jeunes femmes sont prêtes à tout lâcher pour une immersion dans une tribu d’un pays lointain. Cet éloignement est pour elles une manière de s’interroger sur leur mal-être.
Le Palais Royal de Bangkok en Thaïlande est un indescriptible brouhaha où l'on entend à peu près toutes les langues du monde. A la bousculade et à l’excitation des touristes et des photographes se superposent les commentaires bruyants des guides.
Marchés du monde dans un marché de banlieue. Quelle que soit la ville du monde que je découvre lors de mes voyages, une de mes premières visites est consacrée au marché local. C’est par définition un carrefour humain, dense et intense de vie et d’actions, un reflet du quotidien, de la manière de vivre, d’être, de manger, de négocier, et de communiquer des habitants de la ville, toujours haut en couleurs, dans tous les sens de cette expression.
Fraîche et pimentée. Cette salade de papaye verte est une des vedettes incontournables de la cuisine Thaï. Je l’aime bien, pourtant elle n’est pas le plat Thaï que je préfère, loin de là. Mais ce plat est tellement populaire que je l’ai testé dans toutes ses variantes régionales, plus ou moins aigres, sucrées, salées ou pimentées et j’en ai même préparé dans un cours de cuisine près de Chiang Mai.
Nager au-dessus de la canopée. Sur cette photo nous ne sommes pas au-dessus de Central Park à New York mais dans une mégapole asiatique au climat tropical, Bangkok. Cette photo de piscine à débordement que j’ai rapportée, flottant au-dessus de la ville, a été prise dans le quartier le plus bizness et trendy de la mégapole de Thaïlande. Les arbres qui s’étendent au-dessous de la piscine sont ceux du Parc Lumphini (parfois écrit Lumpini en français), 6 fois moins grand que celui de Central Park à Manhattan.
Grand écran nature. Dès le premier regard depuis la terrasse de notre chambre, je suis immédiatement saisi par une vision panoramique stupéfiante. « Lanjia », m’explique tout de suite le responsable de ce lodge de la montagne thaïlandaise, signifie « paisible » en Hmong, l’ethnie principale du village de Kiew Karn où ce voyage nous a conduits, près de Chiang Khong. « Paisible », jamais un lieu n’a aussi bien mérité son nom !