Sur les traces de l’esclavage dans le monde
L’esclavage appartient-il au passé ? Avec mon expérience des voyages, je peux répondre oui et non. Oui, car il a été théoriquement et juridiquement aboli.
L’esclavage appartient-il au passé ? Avec mon expérience des voyages, je peux répondre oui et non. Oui, car il a été théoriquement et juridiquement aboli.
C’est l’angoissante question, juste avant un départ en voyage. Beaucoup de voyageurs se demandent si une check-list sert à quelque chose. En fait, chacun doit créer ou adapter sa propre liste à chaque nouveau voyage.
Quand Jules Verne raconte les voyageurs. Je me suis aperçu fin mars qu’on venait de fêter les 110 ans de la mort de Jules Verne. Cet écrivain prodigieux a bercé ma jeunesse de rêves de voyages avec, que ce soit bien sûr « Le tour du monde en 80 jours », mais aussi « Cinq semaines en ballon », « Michel Strogoff » et tant d’autres, tous plus épiques les uns que les autres. Lui qui n’était pas un si grand voyageur a emmené ses lecteurs, à travers les plus de 60 romans qu’il a écrits, dans autant de « voyages extraordinaires ».
Voyage en chanson. On peut rester dans son fauteuil (ou au bord de la piscine les doigts de pied en éventail) et faire un tour du monde avec la chanson pharamineuse de Pharrell Williams, "Happy". Elle s’est imposée en un éclair comme un succès planétaire et a répandu une contagion de joie dans un monde angoissé.
Voyageur trompeur. C’est très étrange, quand Je lis le nom de Corto Maltese, je pense Hugo Pratt et quand j’entends le nom de Hugo Pratt, je pense Corto Maltese. Comme si Hugo Pratt l’auteur de la bande dessinée était le double de son personnage aventurier et vagabond Corto Maltese, ou vice versa. Or, ce gros livre que je viens de lire sur « Corto Maltese 1904-1925 » ne m’a pas permis d’effacer cette confusion.
« Il voyag' en solitaire Et nul ne l'oblilg' à se taire, Il chante la terre » : ces paroles toutes simples écrites par Gérard Manset en 1973 ont été un immense succès populaire dès 1975 (300 000 exemplaires rapidement vendus en 45 tours), comme une espèce d’hymne un peu imprécis à la route ou à l’ailleurs, une mélodie de routard libre. Certains globe-trotteurs du XXIème siècle s’y reconnaissent toujours. Il y a un peu du « i'm a poor lonesome cowboy » de Lucky Luke.