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Petit voyage entre mes grands voyages. Je crois que l’automne est la plus belle saison, du moins dans les bois et les forêts qui longent la Marne en amont de Paris. C’est mon Québec à moi. J’y fais mon petit voyage de ressourcement entre mes grands voyages à l’autre bout du monde. Avant le grand dépouillement de l’hiver, la nature y est incroyablement plus colorée qu’au printemps. Avant l’été il y a bien sûr le pointillisme de petites fleurs à dominante jaune et mauve.
Bon plan voyage à Londres. « On n’est plus des pigeons », j’adore le ton faussement naïf, mi insolent mi humoristique de cette émission de France 4 : un peu plus de 10 mn suffisent pour dévoiler les arnaqueurs sur une question. Un bon filon pas con !
Vadrouille entre les plus beaux pavillons nationaux. Je n’ai pas tout vu à "Expo Milano 2015". Pour prétendre avoir tout vu, il aurait fallu passer une semaine à explorer en long en large et en profondeur l’exposition universelle.
Etape du soir. Ce début de Ramadan de mes amis musulmans me rappelle des saveurs que j’ai appréciées lors de mon dernier voyage au Maroc : le thé à la menthe, les tagines et particulièrement la soupe harira. Difficile de ne pas s’intéresser aujourd’hui à cette soupe marocaine traditionnelle.
Design et dégustations ambrées. Chamarel, est connu comme un site naturel de l'île Maurice qui m'a étonné comme beaucoup de touristes : la nature y a dessiné, sans retouche humaine, un tableau de cendres volcaniques oxydées multicolores, aux teintes mauves, orangées, rougeoyantes, ocres.... Une curiosité géologique arc en ciel qui est un peu le symbole de l’alchimie sociale très métissée de l’île. Comme de ses rhums aussi…
Le facteur voyage. Comme l’écrivain Joseph Conrad, j’ai pris goût aux voyages grâce à la géographie et à ses cartes. Et j’ai appris à m’orienter dans les cartes de géographie grâce aux timbres-poste. Quand j’étais enfant, mes parents n’avaient pas les moyens de nous offrir, à mon frère, à mes sœurs et à moi, des voyages.
Un exemple parmi d’autres dans le monde. J’aurais pu parler des femmes d’Afrique noire, du Pérou, d’Egypte, du Norvège ou encore d’Ouzbékistan mais j’ai choisi, aujourd’hui en cette « journée internationale des droits de la femme » 2017, celles du Vietnam à cause d’un souvenir. Dans ma jeunesse, une photo de la guerre du Vietnam m’avait frappé : une frêle femme vietminh, fusil à la main, baïonnette au clair, tenait en respect un prisonnier américain les mains attachées dans dos et baissant la tête.