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S’échapper dans une chambre. Paradoxal ? J’avais besoin de m’échapper de mon quotidien, de fuir la routine, de partir loin de l’ennui. J’ai trouvé la clef des champs dans un "escape game" (1) parisien, "La Pièce" (2). Ce lieu porte bien son nom puisqu’on vous enferme pendant une heure dans une petite pièce en vous donnant un seul objectif : trouver la clef pour en sortir.

Le plat national de la Côte d’Ivoire. Impossible d’échapper à l’attiéké en voyageant en Côte d’Ivoire ! C’est un plat de riches et un plat de pauvres. Ce manioc râpé se trouve aussi bien vendu dans la poussière des trottoirs que dans les « maquis », c’est-à-dire les restaurants populaires d’Abidjan. On le consomme aussi sur les plus exquises tables de la grande bourgeoisie.

Accorder une réduction aux passagers qui subissent les "sièges du milieu" dans les avions : ce serait un moyen intelligent d’atténuer l’effet punition de ces sièges des classes économiques coincés entre deux autres.

Le voyage au plus profond de soi. Chaque voyageur est un peu explorateur.

Voyage en chanson. On peut rester dans son fauteuil (ou au bord de la piscine les doigts de pied en éventail) et faire un tour du monde avec la chanson pharamineuse de Pharrell Williams, "Happy". Elle s’est imposée en un éclair comme un succès planétaire et a répandu une contagion de joie dans un monde angoissé.

Un marché géant sous des hangars de zeppelins. J’ai cru à une blague quand on m’a parlé de ce marché en l’associant aux « zeppelins », ces ballons dirigeables allemands géants du début du XXème siècle qui ont disparu et qui appartiennent à l’histoire. Quel rapport ? Au marché de Riga, capitale de la Lettonie on ne vend pas de zeppelins, mais seulement, des fruits, des légumes, de la viande et du poisson comme dans tous les marchés du monde.
Rien n’est extraordinaire mais tout est surprenant en Martinique. Je ne me lasse pas du charme, des couleurs, de la beauté qui sont au rendez-vous dans tous les recoins, les bas comme les hauts, cachés ou exposés, de cette île française des Caraïbes. Elle colle à mon histoire puisque l’un de mes grands-pères y est né.