Plus récemment, un assaut contre la zone grise est parti des campus américains. Je lui dis « oui » et je lui fais jurer, de ne le dire à personne, sinon on aurait des ennuis tous les deux. Parce qu’un viol est un acte sexuel non consenti, de très nombreux témoignages reçus pourraient être considérés comme tels. Il était rigide, sans élan, dans "une position d’acceptation mutique". Cela me remet en mémoire ce que tu m’as dit au début de notre amour. C’est Roxane, 30 ans, qui raconte : Elle ajoute (et cela peut choquer) : "Ce n’est pas si grave, l’amour reprend le dessus. En couple, on peut utiliser des codes qu’on a établis ensemble. Tout en continuant à l'embrasser, ma main glisse en dessous de sa mini-jupe. J'ai l'impression que le journal fait une généralité après son enquête dans des milieux déjantés ou les gens sont ivres et/ou drogués. Laura (un pseudo), 26 ans, pour qui la zone grise n'existe pas, raconte distinctement comment la "culture du viol" a pu influer sur sa sexualité : Pour illustrer la culture du viol, Jean-Raphaël Bourge parle des manuels d’éducation à la sexualité du XIXe siècle, où on conseillait aux femmes "de résister pour mieux céder". Pour le reste, la première des choses est de parler, communiquer. Pendant les cours d’éducation sexuelle, il était surtout question de "techniques" et d’apprentissage de la contraception. Mon petit chéri, tu m’as encore fait grimper aux rideaux. On le fait ? Un viol n’est pas non plus ce qu’en dit l’imaginaire collectif (une ruelle sombre ou un parking souterrain, par un inconnu menaçant d’un couteau). Parce que je me disais 'ça va être chiant, il va gueuler', etc.". Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de cookies, notamment les cookies de publicité personnalisée. Viol ou rapport sexuel consenti ? Hélène commence à se détendre et j'entends même quelques râles de plaisir. "J’en ai tellement marre des zones grises", lâche la réalisatrice féministe Lena Dunham, dans un génial épisode de la saison 6 de "Girls", illustrant la culture du viol. C'est tout le problème du consentement éclairé, du refus de se soumettre pour se débarrasser d'une chose dont on ne souhaite pas discuter avec quelquefois des conséquences qui peuvent être aussi lourdes qu'un viol. Quand tu étais au lit ! Tu es un petit monstre de luxure. Elles disent "ce n’était pas vraiment un viol", "j’ai fini par céder", "je l’avais cherché", "il fallait y passer", "je l’ai fait par devoir conjugal", "par conformisme je suis allée jusqu’au bout" ou "pour lui faire plaisir"... Certains parmi vous, et c’est assez parlant, l’ont appelé "viol consenti". Il ne s’en souciait pas.". Vous avez l'autorisation de le reproduire et de le diffuser librement à condition de respecter la paternité du texte et de conserver les en-têtes de l'histoire. Parce qu’un viol est un acte sexuel non consenti, de très nombreux témoignages reçus pourraient être considérés comme tels au regard de la loi. Il peut y avoir viol sans manifestation explicite d’un refus, parce que la victime est paralysée par ce qui lui arrive, inconsciente ou pas en état de donner un consentement éclairé (droguée, alcoolisée...). Me dit-elle en retirant un instant mon sexe de sa petite bouche. Après le baiser, elle me demande si on recommence bientôt. Cet homme de 41 ans s’est forcé avec sa partenaire actuelle, un matin où il n’en avait pas envie, mais où elle lui a sauté dessus ("gentiment, et avec beaucoup de tendresse", précise-t-il). Résumé :Le jour béni où j'ai dépucelé ma fille d'amour. Quand je me retire de sa foufoune, une coulée de sperme, de cyprine mêlée avec un peu de sang sortis de sa grotte d'amour. Trouvez de quoi riposter lorsque quelqu’un vous dit que vous êtes gros, puis gardez cela en tête. Hannah, le personnage qu'elle incarne, est chez un auteur qu'elle admire, accusé par plusieurs femmes d'abus sexuels. Personnages : 1 homme, 1 femme, 1 petite fille Comme Amélie (un pseudo), hébergée chez un de ses collègues, qui s’est fait réveiller par des attouchements : Plus tard, Amélie, 24 ans, s’est mise en couple avec cette "relation malsaine", mais a fini par le quitter. Je pousse mon sexe à l'intérieur et j'arrive contre son hymen. Coincé dans "les images de la virilité", il a hésité à nous appeler, mais avant de raccrocher, il nous glisse : "Votre zone grise, là, ça m’a tout de suite flashé. Ça s’est passé lors de son échange universitaire en Argentine, en soirée. Quand tu pars avec "ce qu'il te reste de Jedi" et que t'en ramènes que trente, je me suis toujours dit que la réaction de Windu et Obi par exemple était un peu trop je m'en foutiste Allez, lundi prochain, je vous présente une légion et son commandant clone ! Les blessures que cela a laissées. Hélène est en peignoir légèrement ouvert. Une belle poule blanche se nettoya et perdit une plume. Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 15 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison en France et dans la plupart des pays du monde. Jean-Raphaël Bourge développe : "Il y a eu une première vague de prise de conscience avec le débat pour la vraie reconnaissance du viol dans les années 1970, et la lutte pour le droit des femmes à disposer de leur corps. Elle reprend ses esprits, se tourne vers moi et m'embrasse tendrement, sur ma bouche. "J'avais 14 ans. Quand je me retire de sa foufoune, une coulée de sperme, de cyprine mêlée avec un peu de sang sortis de sa grotte d'amour. Ce travail s'appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l'abonnement. Ce qui compte pour la justice est le consentement au moment des faits (et pas deux heures avant). "Il faudrait dans les cours d'éducation à la sexualité parler encore plus de consentement, de la relation à soi, à l'autre et du respect de tout ça", abonde Lorene Carlin. — Hum ! La jeune femme a gardé peu de souvenirs du moment. On peut accepter la tasse mais refuser le gâteau proposé avec. "Cette notion de zone grise permet d'ouvrir la discussion et peut donc permettre de réaliser, de retravailler certaines situations pas/peu claires", résume Lorene Carlin, sage-femme à l’université de Bordeaux. Ensuite, je joue avec mon sexe sur sa petite Foufoune. Ma bibliothèque "Définir les différences entre zone grise et viol, c’est accepter que j’ai pu être violée", dit au téléphone Odile (un pseudo), une assistante de gestion de 38 ans, qui fait référence à une "relation malsaine" avec un ex-compagnon. Depuis ce dimanche, la Kitchenette s’est transformée en gargote vietnamienne le temps d’un pho ou en vietnamien phở (prononcez feu-euh – et cela ne s’écrit pas phô, c’est faux ! Je décide de force le passage et Hélène se met à crier, de douleur. Il y a tous ces cas où on "cède" pour être tranquille. Une des victimes d'Harvey Weinstein, l'actrice Lucie Evans, qui a subi une fellation forcée. On peut accepter la tasse mais refuser le gâteau proposé avec. raconte qu’elle "date" beaucoup via des applications, et que ça lui permet de "s’entraîner" : "Je m’affirme, je pose mes limites, c’est un apprentissage. Ça paraît bête mais en fait je n'avais pas envie. Hélène gémis, j'écarte un peu ses lèvres et introduit ma langue dans sa jeune fente encore vierge. Il y a aussi les pratiques imposées pendant un acte consenti. Ce questionnement est arrivé jusqu’en France via les militantes féministes. Le contenu de ce site est le fruit du travail de l'ensemble d'une rédaction qui oeuvre chaque jour à vous apporter une information de qualité, fiable, complète, et d'une équipe web qui vous propose des services innovants. Ce mardi 6 mars est diffusé à 22h55 sur France 2 un excellent documentaire sur le consentement sexuel. On ne le dit peut-être pas assez : un viol n’est pas qu’un acte sexuel imposé face auquel la victime a crié "non". Car finalement, le consentement des femmes, dont la notion n’a émergé que très récemment, est encore un "assentiment au désir des hommes", explique Jean-Raphaël Bourge. Ella non plus ne se souvient pas avoir entendu ce mot à l’école. Récemment, Nicolas a envoyé à cette fille un mail d’excuses (resté sans réponse). Lana le dit autrement, à propos de son violeur auquel elle a dit non, "à demi-consciente", car ivre : Pour Jean-Raphaël Bourge, la véritable "zone grise", ce flou du consentement concerne des "cas très rares", "mais elle est considérablement étendue par ceux qui veulent empêcher les femmes de disposer de leur corps, et on la laisse exister en rendant par exemple très difficile le fait de porter plainte pour viol". Et surtout, il ne s'agit pas seulement de savoir dire, mais avant tout d'entendre et de se soucier du consentement de l'autre. j'ai jamais vue qu'un entretient d'embauche, (car ce bien de ça qu'il s'agit) se passe dans une chambre d’hôtel...à un moment donné, faut arrêter de nous prendre pour des imbéciles... N'importe quoi, on n'a pas tous une histoire de violence (sexuelle ou non) Il existe aussi des milieux ou les gens se respectent mutuellement même après quelques verres. Ok ? "Je ne sais pas encore bien si cette relation évoquée juste au-dessus est incluse dans la zone grise ou si c'est carrément du viol.". Où il n'y a pas les méchants d'un côté, les gentils de l'autre. ", Son premier petit copain la pressait de coucher pour la première fois. – Mais, je ne sais pas, comment on fait ! Hélène a les yeux rivés dessus. Comme "ça n'était pas mauvais, physiquement parlant", c’est devenu une "anecdote" avec un fort arrière-goût de malaise. Un jeune homme l’a attrapée, emmenée jusqu’au balcon, lui a baissé le T-shirt et le soutien-gorge et s’est mis à lui lécher la poitrine. On ne le dit peut-être pas assez : un viol n’est pas qu’un acte sexuel imposé face auquel la victime a crié "non". J enfonce ma bite dans son cul en une fois, tellement je suis excité. Un autre garçon me plaisait à l'époque, j'ai dit que je ne voulais pas. "Il devait être dans une zone grise, perdu entre sa stupidité et son érection ? Il n'y a pas forcement volonté de malveillance", rappelle Lorene Carlin. C’est le cas de Charlotte, mais aussi de Victor (ce n'est pas son vrai prénom), dans le social. La petite main de ma fille, sur mon sexe tout dur me fait durcir comme jamais. je lui montre comment me branler. Si une copine l’avait appelée à ce moment, elle aurait eu une excuse pour partir, et s’il lui avait posé la question, elle aurait peut-être dit "non". Une bosse apparue à travers mon short. Cet été, elle a d’ailleurs dit "non" (et ça s’est très bien passé). La seule critique qu'on puisse lui faire est d'avoir offert aux femmes un confort pour témoigner auquel les hommes interviewés n'ont pas eu le droit. Il y a une histoire que Charlotte (un pseudo), une étudiante de 25 ans, raconte souvent à ses copines sur le ton de la blague. La zone grise, en creux, nous amène à la méconnaissance qui entoure la définition du viol et de sa représentation. Elle mouille tellement, que mon sexe n as eu aucun problème, pour trouve l'entrée de sa grotte d'amour. La liberté c’est ça, faire ce qu’on veut quand on veut avec qui on veut. Et surtout, il ne s'agit pas seulement de savoir dire, mais avant tout d'entendre et de se soucier du consentement de l'autre. Dans la journée, ma femme part avec sa mère faire des courses. Je lui propose d'aller dans la chambre et aussitôt, elle me suit sans discuter et en se laissant caresser entre les jambes. Sans valeur si la personne est ivre! Demandez autour de vous : qui n’a pas vécu une histoire similaire ? Ça permet déjà d'en parler, comme un "marchepied". Nous en avons fait l’expérience en lançant un appel à témoignages sur la "zone grise du consentement". Vous êtes dégueulasses et répugnants de parler de zone grise, ou de 'consentement flou'.". Si les femmes racontent leurs histoires de leur canapés, chez elle ou dans leur salon, les hommes sont cueillis dans des festivals, ivres parfois. Jean-Raphaël Bourge, chercheur à Paris-VIII qui travaille sur le consentement sexuel, parle d’une "zone de refuge pour les violeurs, qui s’abritent derrière une ambiguïté". "'J'ai été violée' est une annonce qui peut être lourde de conséquence et stigmatisante.". Je ne bouge plus, le temps qu'elle s'habitue à mon sexe dans son étroit et jeune vagin de petite fille. Je touche sa petite culotte légèrement mouillée. "J’avais honte de ne pas avoir su dire non, et c’était pas agréable. Cela peut aller de la pièce donné à un mendiant à l'achat d'un bien qui engage sur plusieurs années en passant par l'acceptation d'une mission quelconque dans un cadre professionnel ou autre. Le consentement peut être retiré à tout moment : on peut vouloir boire du thé mais changer d’avis ; on peut même proposer à l’autre de partager une tasse et pendant que l’eau bout, ne plus en vouloir. "Il y a du langage non verbal. Dans Une larme m'a sauvée, nous assistons à la ténacité de sa famille à lui parler sans discontinuité, à tel point que sa fille provoque chez sa mère une surcharge émotionnelle occasionnant l'écoulement d'une … Je suis encore au lit avec ma petite femme (Cathy) qui a toujours le feu au cul et à sa chatte, le matin. ce n'est pas pour rien que Macel zanini à écrit la chanson "tu veux ou tu veux pas", (pour les plus jeunes, google est ton amis), d'entrée, les femmes ne savent jamais ce qu'elles veulent, du moins si, mais , tout comme l'homme insistant, voulant se passer du "laisser entrée" , les femmes mettent de côté la manière dont fonctionne un homme qui à mis sur "on" la boite à plaisir, font pas confondre un viol et le regret du lendemain lorsque la fille s’aperçoit que le garçon n'a pas le moindre sentiment pour elle, pour revenir à "l'affaire Weinstein " ,en tant actrice, aller chercher un sénario dans une chambre d'hôtel, elle sait parfaitement ce qu'il va se passer, mais elle y va quand même, et SEULE ,! Email : jeunemimi[_at_]gmail.com Dès qu'elle met mon sexe dans sa bouche, je crus que j'allais jouir directe dedans. Mais c’est aussi OK de ne pas en être toujours capable. En effet, qui, dans sa vie, n'a pas accepté, pour être tranquille, une chose qu'il ne désirait pas. Je caresse sa petite fente à travers le tissu et entendant qu'elle soupir et respire plus vite. Alors qu’elle dormait, une de ses voisines dit à une autre : "Il y a une poule qui veut se plumer pour plaire au coq". — Ho ho ! Je l'embrasse amoureusement et continue mes vas et viens, dans sa foufoune d'amour. "Un acte de pénétration non consenti est un viol. Et "céder n’est pas consentir". Je lui ai clairement dit le lendemain que c’était un viol.". Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'. Dans la sexualité, c'est la même chose", explique Jean-Raphaël Bourge. Cathy ne la vois pas, mais moi bien. Si je fais la gueule quand tu me souris dans la rue, ça veut dire que je ne veux pas que tu viennes me parler par exemple. Je me couche sur ma petite chérie sans lui imposer mon poids. Laura (un pseudo), 26 ans, pour qui la zone grise n'existe pas, raconte distinctement comment la "culture du viol" a pu influer sur sa sexualité : "Inconsciemment, je fonctionnais de cette manière : si un homme manifeste du désir pour moi, c'est que je l'ai provoqué, que je dois en être flattée et saisir l'opportunité. Et ". Quand elle s'est retrouvée dans sa chambre, elle "ne savait plus" si elle avait vraiment envie de coucher avec lui. Charlotte a toujours raconté ces histoires en rigolant et avec une bonne dose de culpabilité. Cela va de soi : quelqu’un d’endormi ou d’inconscient n’a pas envie de thé. Plus de 200 histoires nous sont parvenues, écrites dans une écrasante majorité par des femmes, dans des relations hétéros. – Tu veux qu'on fasse, comme je fais, avec maman ? Avant ça, le viol était une atteinte à l’honneur ou à la famille, bref au 'possesseur' de la femme, mais pas à la victime.". La "culture du viol", c’est l’ensemble des représentations genrées de la sexualité et de la séduction qui permettent et encouragent les violences sexuelles. "Ça peut paraître jusqu’au-boutiste, mais ça a été radical", complète Jean-Raphaël Bourge. Parce qu’elle établit une hiérarchisation, la zone grise peut être dangereuse car elle est une façon de se dédouaner pour les agresseurs. Elle fait notamment référence à cet article donnant la parole à des jeunes femmes qui n'avaient pas consenti. On pourrait donc conclure que la zone grise est un mythe et s’arrêter là, mais il ressort autre chose des témoignages lus et entendus. Soutenez les contributeurs de 2Folie en achetant leurs meilleures contributions. ", C'est le moment où on dit oui parce qu'on n'ose pas dire non, où un silence ou une absence de réponse est interprété comme un oui", explique Lorene Carlin, sage-femme, qui a participé à. Dénominateur commun de toutes ces histoires : un sentiment de culpabilité, où la victime a l'impression d'avoir en quelque sorte autorisé l'agression. Ils/elles pourront échanger les foliz obtenus contre de la lingerie, des sextoys, du matériel photo/vidéo et seront bien plus motivé(e)s pour contribuer encore plus sur 2Folie. La "zone grise" est décrite, parfois, comme un refuge. Imaginer que le violeur est toujours un monstre pervers nous fait passer à côté de la banalité de la violence (Hannah Arendt disait "la banalité du mal"), de cette fameuse "zone grise". Hélène perd connaissance, tellement sa jouissance est forte. "Ce truc-là", que Charlotte range dans les "expériences sexuelles foireuses", lui est arrivé plusieurs fois.