Des journalistes sont anciens élèves de l'École, tels que Maurice Pefferkorn (1907), journaliste spécialisé dans le football[320], Augustin Rousseau (1909), directeur général de la revue professionnelle La Machine moderne (L'Usine nouvelle) à Paris, Bernard Wouts (1963)[321], ancien administrateur général du quotidien Le Monde, ancien PDG de l'hebdomadaire Le Point, Jean-Pierre Caffin (1967), directeur général du groupe Prisma presse[322], président de la coopérative de distribution de la presse et gérant de Presstalis. Identification. Dans le domaine du traitement des eaux et de la dépollution, Paul Gaillet (1875) et Louis Huet (1874) sont connus pour le procédé Gaillet et Huet d'épuration des eaux et de production d'eau potable par colonne de décantation à la chaux et soude, et Émile Degrémont (1897) est le fondateur du groupe Degrémont dont la marque est connue mondialement pour la production d'eau potable. Des élèves-ingénieurs en cours de scolarité[41] participent à des actions de résistance ; certains sont fusillés. (...) L'IDN s'expliquait surtout par des préoccupations en rapport avec l'industrie régionale et ses besoins en hommes compétents. Au début du XXe siècle, certains professeurs, tels que Clément Codron[E 54] et René Paillot, associent les élèves-ingénieurs à des expérimentations menées pour des industriels dans le laboratoire d'essais de l'IDN[B 15]. Une instance de pilotage est instituée en vue de l'élaboration, de la mise en œuvre et de l'évaluation du contrat de ville. L'objectif affiché en 1928 est de « former des ingénieurs 1° capables de rendre des services dans l'industrie dès leur sortie de l'École 2° ayant une culture générale scientifique développée, les études devant être sanctionnées par la licence ès sciences et le diplôme d'ingénieur 3° sachant facilement allier la science à l'industrie, les élèves recevant une formation spéciale dans des laboratoires d'application complets et modernes[IDN 4] ». Le rapport de l'exposition universelle internationale de 1889[81] indique que « cette école constitue une précieuse ressources pour les jeunes gens auxquels leur position de fortune interdit l'accès de l'École centrale de Paris. En 1967, il y a vingt ingénieurs diplômés IDN à la faculté des sciences de Lille poursuivant leurs études pour obtenir un titre de docteur-ingénieur ou docteur es sciences, ceci indique qu'au moins 8 % de l'effectif d'une promotion d'ingénieurs poursuit une formation par la recherche. BiblioBazaar, LLC, 2009) (ISBN 978-1-115-05128-6, lire en ligne), « Les deux sections se distinguaient par leur initiale T ou G et le numéro de l'année, habitude qui s'est perpétrée jusqu'à nos jours malgré la disparition de la section Technologie en 1895, celle-ci étant trop proche de l'enseignement dispensé à l'École des Arts et Métiers. Dans ces fonctions, il créa un internat et obtint des subventions privées et publiques qui permirent un nouvel essor à l'École. Par scission, la Société Anonyme des Moteurs Gnome sera créée en 1905 et deviendra ensuite. (...) L'agrément de pareilles Associations dépendait du rapport des Ingénieurs des Mines et de l'avis de la Commission des Machines à Vapeur dominé par eux. La FASSFI devient FASFI puis FASFID ; Yvan Mirochnikoff (1949) est président de la FASFID de 1974 à 1977[A 13], président de la FEANI et de la Commission des titres d'ingénieur. (...) »[26]. » L'un des rédacteurs en 1978 est le futur cinéaste Cyril Collard[E 64]. Il faut attendre la promotion 1889 pour voir le premier ingénieur brésilien diplômé IDN (le chimiste Amador Joly (1889)) et 1912 pour voir les premiers Chinois diplômés ingénieurs IDN[IDN 15],[ANMT 1]. 10-4.-L'Agence nationale pour la rénovation urbaine est habilitée à entreprendre des actions concourant à promouvoir l'expertise française à l'international en matière de renouvellement urbain. Avant la seconde guerre mondiale, « les ingénieurs IDN qui désirent se spécialiser ont la faculté de faire une quatrième année d'études, soit à l'École supérieure d'électricité de Paris, où ils sont admis sans concours, soit dans l'un des instituts spécialisés de la faculté des sciences de Lille (mécanique des fluides, électrotechnique, chimie appliquée, radiotechnique)[IDN 21]. Un pionnier de l'électricité à l'École est Bernard Brunhes, qui enseigne la physique et l'électricité industrielle (1892-1893) à l'IDN puis est chargé d'un cours d'électrotechnique à l'IDN de 1893 à 1895[E 74] ; son successeur est Charles Camichel, qui enseigne l'électricité industrielle à l'IDN de 1895 à 1900, élu en 1936 à l'Académie des sciences[172]. En 1963, la direction de l'Enseignement supérieur (...) propose un rattachement à l'Enseignement supérieur sous une forme d'une convention analogue à celle qui devait définir la situation de l'École supérieure d'électricité. Ces facilités révolutionnaires venaient couronner une évolution elle-même sensationnelle, qui venait de s'accomplir dans le domaine de la marine marchande. En effet, outre le recrutement direct, dans la division de génie civil formant des ingénieurs IDN, d'élèves issus des lycées classiques[85] fréquentés par une population socialement privilégiée[86],[87], un drainage du vivier de candidats non-bacheliers est effectué vers la division de technologie dont la deuxième année sert alors de classe préparatoire lilloise, préalable à l'examen d'entrée dans la division de génie civil pour suivre le cursus de trois ans de formation d'ingénieur. Le journal mensuel britannique The Engineer publie un article sur l'École[121] en 1867 et note que l'électricité fait partie de l'enseignement général de tronc commun dès la première année d'étude, dans ses aspects de bobinages et de machines électromagnétiques. Marcel Bloch, l'associé d'Henry Potez, effectue une conférence à l’amphithéâtre de l'Institut industriel le 23 octobre 1937. IX. Bernard Cambier (1956), directeur des affaires internationales et membre du conseil d'administration de Thomson-CSF (devenu Thales). La décision d'ouvrir une quatrième option d'approfondissement de troisième année en électronique est prise en mars 1956[E 24], sur la base des cours d'électronique et de servo-mécanismes mis en place en octobre 1955[145]. « III. Une enquête de la FASFID datée de 1987 indique : En 1995, les plus gros employeurs d'ingénieurs IDN sont EDF, PSA Peugeot Citroën, Renault, Total, SNCF, Société générale. Henri Fournier[G 1], ingénieur en chef des ponts et chaussées est directeur en 1928-1929[72]. En Octobre 1962, le laboratoire s'équipe d'un calculateur Bull Gamma E.T. Au travers de son Institut industriel du Nord (IDN)[D 1],[M 1],[U 1] à partir de 1872[B 1], l'École assure le développement de la grande industrie mécanique actionnée par des moteurs électriques et des moteurs à explosion[5], de la pétrochimie, de l'automobile, de l'aéronautique, de l'électrométallurgie et sidérurgie[N 7], des tramways et du métro, des systèmes et réseaux électriques, de l'éclairage électrique, de l'électromécanique, de la radioélectricité et téléphonie, de l'automatisation de l'industrie manufacturière, de la réfrigération et de la conserverie industrielle[N 4],[E 3], traduisant l'augmentation généralisée de la productivité des différents secteurs de l'industrie et des services[6]. Optimisez vos processus de travail et d'affaires - approches Kaïzen et Lean . Rédigé dans les années cinquante,il rassemblait en un seul volume tout ce qui était connu à l'époque sur les propriétés et les applications des lubrifiants. Guillet indique que « l'enseignement technique supérieur de France fournit environ 700 à 800 ingénieurs chaque année »[93], dont 20 à 50 ingénieurs IDN, qui correspondent à un effectif IDN entre 3 % et 7 % des ingénieurs diplômés annuellement en France à la veille de la Première guerre mondiale. Des laboratoires de l'École sont détruits le 11 janvier 1916 par l'explosion du dépôt de munition des dix-huit ponts. On peut ajouter à cet important équipement celui de l'IDN, une école d'ingénieurs, qui dispose d'une mécanographie, d'un Nadac 20 de la SEA, et d'une machine numérique Honeywell. D’autres bonnes pratiques et guides avec hyperlinks: 1) Guide pour l’Incorporation de l'Approche du Genre dans les Plans Locaux de Coexistence et Sécurité Citoyenne (ES) (ONU Femmes/PNUD/USAID), 2) Série de Guides de Gestion Locale de la Sécurité Citoyenne et … En 1991, l'IDN produit environ 1 % des 18 000 diplômes d’ingénieur délivrés par 211 établissements français habilités. À la fin de leurs études à l'Institut, les élèves titulaires du baccalauréat de mathématiques obtiennent donc, pour ainsi dire automatiquement, le diplôme de licenciés ès-sciences s'ils ont subi avec succès les épreuves des certificats M.P.C. Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités d'application du présent I, qui entre en vigueur à une date qu'il fixe et au plus tard le 1er janvier 2015. À partir des années 1960 avec notamment Jean Bosmorin (1960), François Lhote (1960), Jean Saint-Hubert (1962), Bernard Germain-Bonne (1964), François Laurent (1965) et Marc Nanard (1968), la part des anciens élèves parmi les enseignants-chercheurs permanents à l'IDN s'accroit. André Pierrot (1926), ingénieur en chef à la société des Lignes Télégraphiques et Téléphoniques (LTT-Thomson-CSF) à Conflans Sainte Honorine, auteur de 47 brevets d'invention sur les matériaux ferromagnétiques et diélectriques. Une statistique de 1894[IDN 14] sur l'origine de 1 109 anciens élèves indique une provenance de tous les départements français métropolitains (dont 698 du département du Nord) et d'outremer (dont Algérie, Martinique, Guadeloupe, Guyane, la Réunion) et 6 % de l'étranger (68 dont 25 Belges, 7 Russes, 4 Brésiliens et d'autres provenant d'Angleterre, Norvège, Hollande, Luxembourg, Suisse, Italie, Espagne, Wurtemberg, Roumanie, Valachie, Grèce, Amérique, Mexique et les Indes orientales)[B 11]. », — « Histoire de l'École centrale de Lille - De 1872 à 1881 : naissance et succès », sur ec-lille.fr, « Higher technical training in France. Depuis 1968, les cours et la recherche sont assurés avenue Paul-Langevin sur le campus de l'université des sciences et techniques de Lille (cité scientifique)[59], où un ensemble immobilier de formation et de recherche et une résidence Camus (990 chambres de 9 m2) pour les élèves, construits entre 1965 et 1968 sous la direction des architectes Pierre Vivien et Pierre Eldin[60], sont étendus en 1988 et où une technopole scientifique pluridisciplinaire s'est constituée à proximité de l'École. Pelle hydraulique Poclain, invention de Pierre Bataille (1946), Jacques Bataille (1944) et Gérard Coolen (1937). L'âge moyen d'entrée à l'École passera progressivement de 16-17 ans mi-XIXe siècle à 18 ans en 1919, à 19 ans en 1948 et enfin à 20 ans en 1957[E 9] avec l'augmentation du niveau de vie et de l'espérance de vie en France et la démocratisation de l'accès à l'enseignement supérieur ; le diplôme d'ingénieur civil IDN obtenu à 20 ans au XIXe siècle est alors décerné vers 23 ans mi-XXe siècle. (Dans les années 1960,) les transports de vrac de 100 000 tonnes étaient (devenus) monnaie courante, sans parler de navires pétroliers encore beaucoup plus imposants. Dans la « liste des écoles techniques publiques ou reconnues par l'État délivrant le titre d'ingénieur, et des écoles techniques privées ayant effectué le dépôt des diplômes d'ingénieur conformément à l'article 11, loi du 10 juillet 1934 » publiée dans le JORF du 26 juillet 1936, « l'Institut industriel du Nord de la France, 17, rue Jeanne-d'Arc, à Lille » est l'une des « Écoles publiques délivrant un diplôme d'ingénieur reconnu, par l'État » et délivre le diplôme d'« Ingénieur civil (sections : mécanique, aéronautique, électricité, chimie) »[131]. L'établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre s'engage, lors de la signature du contrat de ville, à élaborer, en concertation avec ses communes membres, un pacte financier et fiscal de solidarité visant à réduire les disparités de charges et de recettes entre ces dernières. Eugène Wibratte (1898), ingénieur-conseil mandataire du département du Nord, établit un rapport sur le financement des dommages de guerre[39]. En 1914, on comptait près de 400 élèves. », « Une nouvelle étape fut franchie en 1880 lorsque le gouvernement reconnut d'utilité publique l'Association des Propriétaires d'Appareils à Vapeur du Nord de la France. », Grimpret obtient pour l'IDN une subvention de la fondation Loutreil en 1921, Jean-Louis Defrance (1972), président de Neu international ; Lucien Neu, polytechnicien et ingénieur-conseil à Lille, professeur d'électricité pratique à l'Institut industriel du Nord, fut un des principaux promoteurs de l'emploi de l'électricité dans les mines fin du, « Paul Kestner fonde l’établissement en 1899 et s’attache à la construction d’appareils dans l’industrie chimique. Le premier alinéa de l'article 722 bis du code général des impôts est ainsi modifié : 1° Les mots : « dans les zones de redynamisation urbaine et » sont supprimés ; 2° Les mots : « respectivement aux A et » sont remplacés par le mot : « au ». La promotion de 1941 comprend deux ingénieurs diplômés[IDN 8]. Lorsque le conseil de concertation locative, prévu à l'article 44 ter, existe, cette concertation est réalisée dans son cadre. Pour les cours techniques, les programmes ont été mis en harmonie avec les progrès les plus récents[IDN 20],[IDN 21]. Le diplôme d'ingénieur IDN est alors délivré quatre ans après l'obtention du baccalauréat. Le deuxième alinéa du VI de l'article 1609 nonies C du code général des impôts est ainsi rédigé : « Lorsqu'il s'agit d'une communauté urbaine, d'une métropole ou de la métropole de Lyon ou lorsque l'établissement public de coopération intercommunale est signataire d'un contrat de ville tel que défini à l'article 6 de la loi n° 2014-173 du 21 février 2014 de programmation pour la ville et la cohésion urbaine, il définit les objectifs de péréquation et de renforcement des solidarités financière et fiscale entre ses communes membres sur la durée du contrat de ville. A la dernière phrase de l'article L. 117-2 du code de l'action sociale et des familles, les mots : « les établissements publics visés aux articles L. 121-13 et L. 121-14 » sont remplacés par les mots : « l'établissement public mentionné à l'article L. 121-13 ». ». « Les mesures prises en faveur des personnes résidant dans certaines zones géographiques et visant à favoriser l'égalité de traitement ne constituent pas une discrimination. Elle est conduite par l'Etat, les collectivités territoriales et leurs groupements dans l'objectif commun d'assurer l'égalité entre les territoires, de réduire les écarts de développement entre les quartiers défavorisés et leurs unités urbaines et d'améliorer les conditions de vie de leurs habitants.